Les Live du Rocher#2 Daniel Paboeuf

vendredi 21 avril à 20h.
L’enregistrement de l’émission aura lieu aux Studios de Bretagne 17 BD Foch  à Ploermel
La partie interview sera animée par Marcus Mithouard.
Nous vous proposons de vivre cet événement équipé d’un casque pour découvrir l’univers de l’enregistrement studio “comme un musicien”.
Nous vous donnons donc rendez-vous un peu avant (vers 19h30) afin de vous équiper et de régler les retours.
La jauge est limitée à 20 personnes,
nous vous remercions donc de réserver votre place le plus vite possible à 
reservation@studiolerocher.fr 
Ashes ?
Le dernier album de DPU était, en partie, inspiré par un retour sur son enfance de Daniel Paboeuf.  Pour ce premier projet solo, Daniel Paboeuf, cette fois, fait un clin d’oeil au premier groupe de son adolescence, Ad Astra (vers les étoiles) Voulant s’extraire d’un monde contemporain anxiogène (irruption de gouvernements autoritaires, nationalismes de tous ordres, religieux ou autres, dérèglements climatiques, usure accélérée de notre planète etc…), Daniel Paboeuf a composé une énigmatique et surprenante musique qui aurait traversé les espaces interstellaires, depuis les origines, à notre rencontre…
Ex astris (en provenance des étoiles) Voix éthérées, boucles de saxophones, lyrisme et mélancolie, gravité et apesanteur (M 87, Ashes ?, Arcturus) sont les éléments et les émotions qui composent et imprègnent ce disque.
Puis Daniel Paboeuf a effectué un retour sur terre, en incluant des émotions plus humaines, plus intimes et émotionnelles, où il expose ses doutes existentiels avec humour (I ‘m a wreck) mais aussi un constat quasi politique (l’hélicoptère) et d’autres avec une sombre résignation (It’ s too late,,Who will remember ?)
Un voyage humain, musical et intersidéral …
On peut avoir des potes musiciens, avec qui on a joué, dont on (pense) connait(re) le son par cœur, et être encore impressionnés par eux, malgré le temps passé, malgré les années. Le son de Daniel Paboeuf est pour moi aussi emblématique de Rennes que les voix de Philippe Pascal ou d’Étienne Daho. Quand je jouais avec lui sur scène, des fois, j’y pensais : merde, je joue avec Daniel Paboeuf, avec ce son qu’il a, aussi identifiable qu’une voix. Une voix qui, en l’occurrence, ne vieillit pas, et qui se régénère, sans être altérée par les contingences, et en dépit d’un écho public bien en deçà de ce à quoi elle pourrait légitimement prétendre.
Le son, toujours ce son. Cette voix, unique.
Dominique A  
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